Quel(le) consacré(e) dans "ce monde malade".

Saint Ambroise disait que la conversion d'un prêtre vaut celle de plus de dix milles
mes. Notre Dieu n'a pas alors besoin des consacré(e)s de la spiritualité mais des consacré(e)s spirituels. Il ne suffit donc pas de connaître beaucoup de choses sur Dieu mais il faut plutôt vivre de Dieu et pour Dieu. Si le monde était malade voire même mort et sans esprit comme nous le pensons, sommes-nous intelligents et conscients? Dr. Mann affirme que pour réparer nos revers, et dissimuler nos défauts, il nous arrive d'attribuer la responsabilité du péché à d'autres que nous-mêmes. Ce qui fait penser à Adam et Eve. Certes, le monde étant l'écho de nos pensées et de nos actes, l'homme détient parfois son propre destiné. On ne force pas son destin mais on peut le forger. Pour alors sauver notre monde qui est présenté comme malade, il faut le rendre humain. Et que chacun prenne conscience de sa responsabilité sans perdre son identité car à cause de la rose l'épine est arrosée. La force d'un prêtre et de tout consacré se trouve dans l'amour et la réconciliation. Il leur faudra aussi un bon discernement. Et la foi rendant la vie très belle, celui ou celle qui a rencontré Dieu a la face d'un sauvé.